NICOLAS DE STAËL
LUMIÈRES DU NORD, LUMIÈRES DU SUD
Coédition Gallimard/Association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (Le Havre)
parution: 27/5/2014
Ouvrage collectif de Jean-Louis Andral, Michel Collot, Virginie Delcourt, Marie Du Bouchet, Renaud Ego, Federico Nicolao, Anne de Staël et de Gustave de Staël
Nicolas de Staël réalise au cours d'une carrière fulgurante, entre 1942 et 1955, l'une des productions artistiques les plus libres et reconnues de l'après-guerre. Après une période abstraite, il évolue, au moment du triomphe des abstractions, vers une peinture qui renoue avec le réel, la nature et le paysage, dépassant l'oppostion apparente entre abstraction et figuration. Le paysage, pour Staël, ce n'est pas le pittoresque ou la description fidèle d'un site, mais avant tout la lumière et l'espace, les éléments. Il réalise des études peintes sur le motif, dessine également, à l'encre ou au feutre, à l'occasion de ses voyages, puis reprend les thèmes à l'atelier, dans un renouvellement formel continu, évoluant de peintures à la matière épaisse à des fluidités presque transparentes. Gentilly, Mantes-la-Jolie, Honfleur, Villerville, Dieppe, Calais, Dunkerque, ou Gravelines au Nord ; Le Lavandou, Lagnes, Ménerbes, Marseille, Uzès, Antibes, ou la Sicile au Sud sont ces lieux de choix et de circonstances traversés par la vision de ce «nomade de la lumière».
LUMIÈRES DU NORD, LUMIÈRES DU SUD
Coédition Gallimard/Association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (Le Havre)
parution: 27/5/2014
Ouvrage collectif de Jean-Louis Andral, Michel Collot, Virginie Delcourt, Marie Du Bouchet, Renaud Ego, Federico Nicolao, Anne de Staël et de Gustave de Staël
Nicolas de Staël réalise au cours d'une carrière fulgurante, entre 1942 et 1955, l'une des productions artistiques les plus libres et reconnues de l'après-guerre. Après une période abstraite, il évolue, au moment du triomphe des abstractions, vers une peinture qui renoue avec le réel, la nature et le paysage, dépassant l'oppostion apparente entre abstraction et figuration. Le paysage, pour Staël, ce n'est pas le pittoresque ou la description fidèle d'un site, mais avant tout la lumière et l'espace, les éléments. Il réalise des études peintes sur le motif, dessine également, à l'encre ou au feutre, à l'occasion de ses voyages, puis reprend les thèmes à l'atelier, dans un renouvellement formel continu, évoluant de peintures à la matière épaisse à des fluidités presque transparentes. Gentilly, Mantes-la-Jolie, Honfleur, Villerville, Dieppe, Calais, Dunkerque, ou Gravelines au Nord ; Le Lavandou, Lagnes, Ménerbes, Marseille, Uzès, Antibes, ou la Sicile au Sud sont ces lieux de choix et de circonstances traversés par la vision de ce «nomade de la lumière».