ALAIN KIRILI
QUI A PEUR DE LA VERTICALITÈ?
Galerie Pièce unique
4 Rue Jacques Callot/ 26 rue Mazarine - Paris
21/3/2013 - 18/5/2013
Après avoir investi en 2012 le parvis de l’Hôtel de Ville à Paris, Alain Kirili, artiste mondialement connu, exposera à partir du 21 mars 2013 sa sculpture « Transfiguration » de 1991 dans la vitrine de Pièce Unique au 4 de la rue Jacques Callot. L’isolation de la sculpture met en avant les deux techniques du sculpteur pour cette oeuvre: forgée et découpée au chalumeau, elle est un hymne à la verticalité à laquelle il est très attaché. On y retrouve son dialogue fondamental avec les oeuvres de Barnett Newman et d’Alberto Giacometti.
Dans la galerie Pièce Unique Variations au 26 de la rue Mazarine, une salle présente sa sculpture en zinc découpé de 1972 qui est sa première oeuvre qu’il considère “post-minimale,” abstraite, et légèrement martelée: C’est un jeu de carrés et de lignes forgées au sol.
Dans le reste de la galerie, des sculptures récentes en caoutchouc noir et fil de fer galvanisé de la série « Aria » de 2011-2012 jouent d’une manière dialectique et dynamique du dessin dans l’espace et des contrastes de formes et de matériaux.
Une série de ses dessins « Fulgurances » et « Hommage à Otha Turner » de 2005 au fusain et pastel à l’huile témoigne de la richesse de son activité de dessinateur.
Alain Kirili est très attaché à la notion évoquée par Nietzsche d’ “inactualité” qu’il exprime à travers des matériaux fondamentaux, une mémoire d’un savoir faire artisanal, le tout prenant vie dans sa création. Dans cette exposition, son désir d’une abstraction tactile et incarnée est célébré. Rythmes, pulsions, créations dans le geste avec tout son corps.
QUI A PEUR DE LA VERTICALITÈ?
Galerie Pièce unique
4 Rue Jacques Callot/ 26 rue Mazarine - Paris
21/3/2013 - 18/5/2013
Après avoir investi en 2012 le parvis de l’Hôtel de Ville à Paris, Alain Kirili, artiste mondialement connu, exposera à partir du 21 mars 2013 sa sculpture « Transfiguration » de 1991 dans la vitrine de Pièce Unique au 4 de la rue Jacques Callot. L’isolation de la sculpture met en avant les deux techniques du sculpteur pour cette oeuvre: forgée et découpée au chalumeau, elle est un hymne à la verticalité à laquelle il est très attaché. On y retrouve son dialogue fondamental avec les oeuvres de Barnett Newman et d’Alberto Giacometti.
Dans la galerie Pièce Unique Variations au 26 de la rue Mazarine, une salle présente sa sculpture en zinc découpé de 1972 qui est sa première oeuvre qu’il considère “post-minimale,” abstraite, et légèrement martelée: C’est un jeu de carrés et de lignes forgées au sol.
Dans le reste de la galerie, des sculptures récentes en caoutchouc noir et fil de fer galvanisé de la série « Aria » de 2011-2012 jouent d’une manière dialectique et dynamique du dessin dans l’espace et des contrastes de formes et de matériaux.
Une série de ses dessins « Fulgurances » et « Hommage à Otha Turner » de 2005 au fusain et pastel à l’huile témoigne de la richesse de son activité de dessinateur.
Alain Kirili est très attaché à la notion évoquée par Nietzsche d’ “inactualité” qu’il exprime à travers des matériaux fondamentaux, une mémoire d’un savoir faire artisanal, le tout prenant vie dans sa création. Dans cette exposition, son désir d’une abstraction tactile et incarnée est célébré. Rythmes, pulsions, créations dans le geste avec tout son corps.
