MÉLUSINE 33
L'AUTOREPRÉSENTATION FEMININE
L'age d'homme, 01/2013
Pour sa trente-troisième apparition, Mélusine change de maquette. Elle s’offre un cahier d’illustrations et se compose principalement de trois dossiers. Le premier, partant du constat que les artistes femmes se distinguent de leurs compagnons du même groupe surréaliste par la place primordiale qu’elles accordent à l’autoportrait, est consacré à l’analyse approfondie du miroir narcissique que constituent leurs textes et œuvres d’art. À la recherche des réponses au sujet de leur obsession représentative, on y creuse leurs origines, leur situation sociale, leur rôle équivoque et ambigu en tant que surréalistes. Un deuxième dossier rend hommage à Leonora Carrington, au lendemain de sa mort survenue à Mexico le 25 mai 2011, en évoquant la femme et l’artiste qu’elle était. Un troisième ensemble, s’appuyant sur les interventions d’un récent colloque tenu à Lyon, rappelle, plus que sa personnalité détachée, l’œuvre de Stanislas Rodanski, ouvrant à perte de vue des perspectives inactuelles, en avant, outre-terre.
Un récit, inaperçu, de Joyce Mansour, ouvre la dernière section qui regroupe exceptionnellement les rubriques habituelles : « Variété », « Documents » et « Réflexions critiques ».
L'AUTOREPRÉSENTATION FEMININE
L'age d'homme, 01/2013
Pour sa trente-troisième apparition, Mélusine change de maquette. Elle s’offre un cahier d’illustrations et se compose principalement de trois dossiers. Le premier, partant du constat que les artistes femmes se distinguent de leurs compagnons du même groupe surréaliste par la place primordiale qu’elles accordent à l’autoportrait, est consacré à l’analyse approfondie du miroir narcissique que constituent leurs textes et œuvres d’art. À la recherche des réponses au sujet de leur obsession représentative, on y creuse leurs origines, leur situation sociale, leur rôle équivoque et ambigu en tant que surréalistes. Un deuxième dossier rend hommage à Leonora Carrington, au lendemain de sa mort survenue à Mexico le 25 mai 2011, en évoquant la femme et l’artiste qu’elle était. Un troisième ensemble, s’appuyant sur les interventions d’un récent colloque tenu à Lyon, rappelle, plus que sa personnalité détachée, l’œuvre de Stanislas Rodanski, ouvrant à perte de vue des perspectives inactuelles, en avant, outre-terre.
Un récit, inaperçu, de Joyce Mansour, ouvre la dernière section qui regroupe exceptionnellement les rubriques habituelles : « Variété », « Documents » et « Réflexions critiques ».