sabato 31 agosto 2013

AS IF IT COULD, OUVERTURE - HERBERT FOUNDATION, GENT



AS IF IT COULD, OUVERTURE
curated by Annick and Anton Herbert
Herbert Foundation
Coupure Links 627 A B - Gent
26/6/2013 - 26/10/2013

After previous exhibitions in Eindhoven (1984), Luxemburg (2000), Barcelona and Graz (both in 2006), the Collection will be on display at the Herbert Foundation in Ghent from June 20, 2013 onward.
Titled As if it Could, ouverture, this first exhibition can be seen as the fourth act in the development of the Collection. The title points to the public role the Collection has taken up with the establishment of the Foundation after four decades of private collecting.
Curated by Annick and Anton Herbert, the exhibition features a selection of some 50 works and 250 documents by Art & Language, John Baldessari, Marcel Broodthaers, Stanley Brouwn, Günter Brus, Daniel Buren, Hanne Darboven, Jan Dibbets, Luciano Fabro, Gilbert & George, Donald Judd, Mike Kelley, Martin Kippenberger, Joseph Kosuth, Sol LeWitt, Richard Long, Bruce Nauman, A.R. Penck, Richard Prince, Gerhard Richter, Thomas Schütte, Jan Vercruysse, Didier Vermeiren and Franz West.
A five-year process precedes the establishment of the Herbert Foundation. From September 2008 onward, the Collection was housed in the Herbert Foundation in different phases and three years later the construction and renovation works began on the reception and gallery space situated at the Coupure in Ghent
June 20, 2013, a new phase begins when the Herbert Foundation starts opening its doors to the general public two days a week. Through October 26, 2013, a selection of 50 works and 250 archive records from the Collection are on display in the first exhibition As if it Could, ouverture.
To enhance visitors’ participation in the works on view, the exhibition is accessible only through group visits led by informed tour guides.
In addition to the display of the works in the Collection, the Archive will also gradually be made accessible. This way, the Herbert Foundation hopes to grow into a research centre for art history.  

ZHANG HUAN: L'ANIMA E LA MATERIA - FORTE DI BELVEDERE, FIRENZE



ZHANG HUAN
L'ANIMA E LA MATERIA
a cura di Olivia Turchi
Forte di Belvedere
Costa San Giorgio - Firenze
dal 8/7/2013 al 13/10/2013

Sino al 13 ottobre rimarrà aperta a Firenze L’Anima e la Materia, la più grande mostra in Italia di Zhang Huan, artista cinese tra i più interessanti della scena contemporanea internazionale, dopo la personale al PAC di Milano del 2010. L’esposizione, ospitata in due dei luoghi simbolo della città, Palazzo Vecchio e Forte Belvedere, sancisce l’incontro tra due grandi capitali culturali: Firenze, luogo principe del Rinascimento e Shanghai nuova “fabrica” e capitale creativa del XXI Secolo.
Zhang Huan è rimasto affascinato dall’arte dei grandi maestri del nostro passato come Donatello, Michelangelo, Vasari che a suo tempo celebrarono le vicende politiche e il mecenatismo della Repubblica Fiorentina e dei Medici. E dalle riflessioni tratte dal suo soggiorno fiorentino, è nato un percorso espositivo che mira ad un fertile dialogo tra tradizione e sperimentazione, in un’indagine che si dipana tra realtà terrena e spiritualità. L’Anima e la Materia che raccoglie alcuni dei lavori più significativi dell’ultima produzione dell’artista, mette dunque a confronto la cultura storica con quella contemporanea, operando sul doppio binario dell’iconografia cinese ed occidentale.

La mostra promossa dal Comune di Firenze in partnership con Il Gioco del Lotto sviluppata su progetto espositivo dell’Assessorato alla Cultura e alla Contemporaneità, è ideata e a cura di Olivia Turchi, si avvale della direzione artistica dello storico dell’arte Sergio Risaliti e dell’organizzazione di Once – Extraordinary Events.

Con questa mostra viene riaperto Forte di Belvedere che torna ad essere simbolo del contemporaneo a Firenze, dopo aver ospitato in passato artisti come Henry Moore, Fausto Melotti, Mimmo Paladino, Mario Merz, Giuseppe Penone, Anish Kapoor e Folon.  

BERNARD HEIDSIECK TAPUSCRITS – POÈMES-PARTITIONS, BIOPSIES, PASSE-PARTOUT - LES PRESSES DU RÉEL 2013



BERNARD HEIDSIECK
TAPUSCRITS – POÈMES-PARTITIONS, BIOPSIES, PASSE-PARTOUT
Les presses du réel, 2013

L'ensemble des tapuscrits du pionnier de la poésie sonore : un monument de quelque 1200 pages qui offre une approche inédite de l'une des œuvres poétiques les plus inventives, les plus marquantes et les plus influentes de la seconde moitié du XXe siècle, au travers de 120 « partitions » reproduites en fac-similé, dévoilant pour la première fois l'écriture, dans sa dimension visuelle et graphique, qui précède et détermine la lecture publique.
Cette publication rassemble l'ensemble des tapuscrits des Poèmes-Partitions, des Biopsies et des Passe-Partout, textes conçus pour la plupart pour être joués et « actés » en public, tous numérisés un par un afin de les restituer de manière la plus littérale possible. De cette matière foisonnante émerge toute une longue vie de lectures et de performances, de festivals et de rencontres, une vie à imaginer et à construire une poésie moderne et vivante qui continue à marquer toute une génération de jeunes artistes.

«Ce que je cherche toujours, c'est d'offrir la possibilité à l'auditeur/spectateur de trouver un point de focalisation et de fixation visuelle. Cela me parait essentiel. Sans aller jusqu'au happening loin de là, je propose toujours un minimum d'action pour que le texte se présente comme une chose vivante et immédiate et prenne une texture quasiment physique. Il ne s'agit donc pas de lecture à proprement parler, mais de donner à voir le texte entendu» 
-- Bernard Heidsieck

Publié suite à l'exposition Bernard Heidsieck – Poésie Action à la Villa Arson, Nice, en 2011.

Au milieu des années 1950 Bernard Heidsieck (né en 1928 à Paris) décide de rompre avec la poésie écrite, pour la sortir hors du livre. À une poésie passive, il oppose une poésie active, « debout » selon sa propre expression. Il est l'un des créateurs, à partir de 1955, de la Poésie Sonore et, en 1962, de la Poésie Action. Il utilise dès 1959 le magnétophone comme moyen d'écriture et de retransmission complémentaire, ouvrant ses recherches à des champs d'expérimentation nouveaux.
Tout en restant attaché à la sémantique, il s'émancipe peu à peu des contraintes de la langue. Il en explore toutes les dimensions formelles que ce soit par la spatialisation du texte, dans les partitions qu'il écrit, ou par la présence de son corps dans l'espace. Le son revêt avec lui une dimension plastique, notamment grâce à sa diction exceptionnelle basée autant sur le souffle que sur une articulation parfaite ou sur les inflexions sans cesse renouvelées de sa voix.
Au fil des années, son écriture se réinvente pour mieux rendre compte de notre quotidien, de notre univers social, politique ou économique, au travers de ses principaux événements, comme dans son extrême banalité. Il développe en 1955 ses premiers Poèmes-Partitions. Puis, il ne cesse de travailler par séries avec les Biopsies entre 1966 et 1969 (au nombre de 13). De 1969 à 1980, ce sont les 29 Passe-Partout. De 1978 a 1986, il écrit Derviche/Le Robert composé de 26 poèmes sonores. Puis à partir de 1988, Respirations et brèves rencontres (60 poèmes produits à partir d'archives d'enregistrements de souffles d'artistes).
Parallèlement à sa propre activité, il organise en 1976 à Paris le premier Festival International de Poésie Sonore à l'Atelier Annick Le Moine, et en association avec Michèle Métail, Les Rencontres Internationales de Poésie Sonore à Rennes, au Havre et à Paris au Centre Georges Pompidou. Il participe pendant de nombreuses années à l'organisation du festival Polyphonix dont il assure un certain temps la présidence. Il réalise plus de 540 lectures publiques de ses textes dans une vingtaine de pays. 

RAOUL HAUSMANN: HYLÉ - LES PRESSES DU REEL 2013



RAOUL HAUSMANN
HYLÉ
État de rêve en Espagne
Les presses du réel, 2013

La première traduction française complète du « roman dada » légendaire de Raoul Hausmann, « livre de rêves » partiellement autobiographique avec lequel le Dadasophe réhabilite en même temps qu'il renouvelle radicalement le genre romanesque.

Acteur significatif du mouvement dadaïste berlinois, Raoul Hausmann est connu dans les années 1910 et le début des années 1920 pour sa production artistique des plus éclectiques : il pratique le collage et le photomontage, le poème phonétique et le poème-affiche, ainsi que la danse et la photographie. Outre ses satires sur la République de Weimar, il signe ou co-signe un grand nombre des manifestes publiés par différents groupes d'avant-garde de l'époque.
Raoul Hausmann commence Hylé. État de rêve en Espagne lors de son exil à Ibiza en 1933-1936 et travaille à ce work in progress jusqu'à la fin des années 1950, alors qu'il a choisi la France comme terre d'accueil après l'exil et la guerre. Si le livre raconte bien les années d'exil à Ibiza, il est loin de s'épuiser dans le substrat autobiographique et n'appartient à aucun genre.
Alors que les limites entre le rêve et la réalité sont rendues incertaines, le passé antique et mythologique d'Ibiza surgit dans le présent. Sans égard pour ce qu'il est convenu d'appeler « littérature », Raoul Hausmann débarrasse au passage la langue de ses « uniformes » (syntaxe et grammaire) et n'hésite pas à lui faire revêtir les habits multicolores des langues de ses exils.

Raoul Hausmann (né en 1886 à Vienne) est l'un des principaux fondateurs, avec Richard Huelsenbeck, du mouvement Dada à Berlin en 1918. À la fin de la Première Guerre mondiale, il se lance avec ses camarades dans une redéfinition complète de l'art. Hausmann est alors un des inventeurs du photomontage et un initiateur de la poésie sonore. Au-delà de son iconoclasme affiché, Dada remet en cause les cloisonnements artistiques et la frontière entre l'art et la vie, ouvrant pour la création du XXe siècle un chantier encore inachevé. En 1933, Hausmann doit fuir l'Allemagne nazie. Après un périple européen, il trouve refuge en Limousin (Peyrat-le-Château) avant de s'installer en 1945 à Limoges où il résidera jusqu'à son décès en 1971 

MASSIMO ANGELINI: CULTURA E CARITÀ A GENOVA NEL XVIII SECOLO - CITTA' DEL SILENZIO 2013

MASSIMO ANGELINI
CULTURA E CARITÀ A GENOVA NEL XVIII SECOLO
Vita e opere dell’abate Paolo Gerolamo Franzoni
e-book Città del silenzio, 2013

Il libro ricostruisce il profilo biografico dell’abate Paolo Gerolamo Franzoni, sacerdote ed educatore, protagonista della vita ecclesiastica e culturale del secondo Settecento genovese. 

venerdì 30 agosto 2013

A VERY LIGHT ART - CA' REZZONINCO, VENEZIA



A VERY LIGHT ART
A cura di Cornelia Lauf
Museo del Settecento Veneziano Ca' Rezzonico
Dorsoduro 3136 - Venezia
dal 28/5/2013 al 24/11/2013

A Very Light Art è una mostra che si propone come interfaccia tra opera d’arte e oggetto d’uso comune. E’ una riflessione sul design e uno studio sul ruolo dell’artista nella storia in relazione all’ambiente architettonico. Una riflessione che trae spunto e stimolo dagli ambienti superlativi di Ca’ Rezzonico, Museo del Settecento Veneziano, scelto come luogo della contaminazione e del confronto.
Sette gli artisti di fama internazionale selezionati dalla curatrice della mostra Cornelia Lauf, con la direzione scientifica di Gabriella Belli, chiamati per la loro straordinaria sensibilità verso i materiali dell’alto artigianato italiano e il contesto storico del palazzo: Mario Airò, Stefano Arienti, Flavio Favelli, Luigi Ontani, Gabriel Orozco, Cerith Wyn Evans e Heimo Zobernig.

Mario Airò presenta una scultura luminosa sospesa all’interno di una piccola cappella, insieme a uno scrittoio progettato per Adele-C e un vaso da fiori appoggiato a terra prodotto da Luigi Barato, grande maestro nella lavorazione degli smalti su rame. Ognuno di questi oggetti non cela la propria funzione e, al contempo, si presenta come scultura. Una superlativa maestria artigianale è sempre alla base di questi manufatti.

Stefano Arienti ci propone una piccola foresta di rami di platano, da cui pendono delle candele votive o dei fiori in cartacrespa. Le opere sono appese alle pareti della sala del Tiepolo alla stregua delle antiche appliques. Questi elementi naturali, spruzzati di vernice oro e arricchiti da semplici ninnoli, si pongono volontariamente in contrasto con lo sfarzo del palazzo.

Flavio Favelli si riconosce per le sue magiche trasformazioni di comuni oggetti di arredo (legati alla memoria della sua infanzia) in sculture di insospettata poesia. Così, cornici dorate, tendaggi di velluto, specchi regali con superfici opache o lampadari da rigattiere di gusto kitsch vengono ricomposti in oggetti di rara bellezza. L’artista ha realizzato Violet Murano: una grande lanterna per la porta d’acqua del palazzo sul Canal Grande.

Luigi Ontani, grande maestro della scena italiana, ripropone la sua classica incursione nel mondo della mitologia giocando ad invertirne i nomi e i personaggi. L’opera principale è il lampadario Mayadusa, realizzato nel 1988 a Murano con il maestro Silvano Signorotto. Nella stessa sala, Nel Regno del Ragno Eggoista: grande specchio con elaborata cornice raffigurante un ragno che tesse la sua tela ed il vaso Vanitaso, entrambi accompagnati dagli acquerelli preparatori.

Gabriel Orozco prende parte con due meravigliosi mobiles: enormi e ultra-leggeri congegni di bambù e piume. Uno dei lavori è composto di sole piume bianche, l’altro è come una nuvola di colore marrone chiaro. Questi lavori conferiscono un accento di leggerezza e giocosità alla cupa eleganza della sala Lazzarini.

Cerith Wyn Evans ha scelto d’intervenire sull’impianto di illuminazione della celebre “Ciocca”, meravigliosa opera dell’arte vetraria muranese del sec. XVIII, ideata e prodotta da Giuseppe Briati. Cerith Wyn Evans torna ad usare un dispositivo d’illuminazione readymade, che si accende ad intermittenza seguendo gli impulsi trasmessi dal brano musicale di Ravel, Le Gaspard de la Nuit. Un sottile e poetico “détournement” della storia, capace di catturare la speciale malinconia che caratterizza Venezia. Sotto il lampadario, un crisantemo in vetro, soffiato dal maestro Gianni Seguso, conclude il lavoro di Wyn Evans.

Heimo Zobernig realizza una serie di sfere rosso rubino del diametro massimo consentito dalle bocche dei forni muranesi. Sospese tutte insieme nel Portego del piano di palazzo, invadono lo spazio e creano un effetto luminoso che assorbe ogni elemento architettonico e d’arredo.

In collaborazione con Università IUAV di Venezia
Direzione Scientifica Gabriella Belli
Ideazione e organizzazione Caterina Tognon

Image: Heimo Zobernig, Untitled, 2012  

HANS JOSEPHSON - YORKSHIRE SCULPTURE PARK, WAKEFIELD



HANS JOSEPHSON
Yorkshire Sculpture Park
Bothy Gallery and open air
West Bretton - Wakefield
11/5/2013 - 5/1/2014

Yorkshire Sculpture Park (YSP) presents the first major indoor and outdoor UK exhibition of sculpture and drawings by the late Zurich-based artist, Hans Josephsohn (1920-2012), in May 2013. The exhibition is a timely opportunity to see the work of this influential artist, at a time when his reputation is becoming established as an important 20th century figurative sculptor.
Recently the subject of attention from Thomas Houseago and Hans Ulrich Obrist and featured by architect Peter Märkli in the 2012 Venice Architectural Biennale, the exhibition at YSP showcases Josephsohn’s career, which spanned almost 60 years before his death in August 2012, and follows recent and forthcoming exhibitions at Hauser & Wirth, London and Modern Art Oxford.
Unique to YSP, the exhibition responds in particular to Josephsohn’s belief that his work should be sited and experienced in relation to architecture. YSP’s elegant 18th century Formal Terrace and Garden with 250-year old yew hedge, replete with niches designed for sculptures brought back from the Grand Tour of classical sites in Rome and Greece, are home to several of Josephsohn’s striking sculptures. As Professor Gerhard Mack, an expert in Josephsohn’s work and practice has said of the artist’s sculptures, “they also evoke the history of park sculpture, which cannot be divorced from the design of the English garden”.
Seeking throughout his practice to find a language for sculpture that contains its past, many of the artist’s works evoke art from classical societies including the monumental Moai sculptures on Easter Island and medieval Romanesque sculptures. Consideration of the physical and conceptual backdrop of the designed landscape at YSP underpin the siting of the show, referencing the artist’s historical inspirations and understanding of architectural context.
Josephsohn was insistently engaged with corporality and sought to capture the intimacy, experience and presence of the human form in his sculptures. This exhibition traces the evolution of his bold, immediate and highly physical way of working: from slim abstracted forms, reminiscent of ancient stone steles and formed initially in tactile plaster, to large half-figures and reclining sculptures, cast in brass and left unpatinated.
Clare Lilley, Director of Progamme, YSP says: “There is an incredible immediacy about Josephsohn’s sculpture. Working from models – always friends – and working directly in plaster which is then cast in brass, his hand, his touch, is part of the substance of the material. These are earthy, sensual, intimate figures with huge integrity.”
Making reclining figures in the 1970s and returning to the subject in the 1990s, the progression in Josephsohn’s creative practice is demonstrated through the selection of works on display in the Formal Garden. Sharing similarities with Henry Moore, whose sculptures Reclining Figure Arch Leg (1969-70) and Three Piece Reclining Figure No 1 (1961-2) can be seen in YSP’s Country Park, Josephsohn drew inspiration from prehistoric relics, and the continuity of these artists’ mutual influences are considered through this presentation, juxtaposing works by the two sculptors within YSP’s grounds.
The inclusion of several reliefs determines another theme, tracing Josephsohn’s early abstractions in the 1950s and 1960s, through those that extended into space in the 1970s. The reliefs, which play a central role in all phases of Josephsohn’s production and place multiple figures in various relationships to each other, are shown alongside small works and drawings in a display within the estate’s 18th century Bothy Gallery, whose architectural character draws out the extraordinary sensuousness, vitality and intimacy of Josephsohn’s work.

Image: Josephsohn, Ohne Titel (foreground), 1962. Courtesy Josephsohn Estate, Hauser & Wirth, Kesselhaus Josephsohn, Galerie Felix Lehner. Photo Jonty Wilde 

DAVID BYRNE: COME FUNZIONA LA MUSICA - BOMPIANI 2013

DAVID BYRNE
COME FUNZIONA LA MUSICA
Bompiani, 11/9/2013
collana "Overlook"

David Byrne voce e fondatore dei Talking Heads si racconta in un libro, che ripercorre il suo rapporto con la musica. Inizia dalle sue prime esperienze, ci racconta di come la musica abbia modellato il suo tempo, riflette su come le nuove tecnologie abbiano cambiato il suo modo di fare e ascoltare musica, confessa quelli che gli sembrano ora gli errori della sua carriera. Disegna così un affresco della musica pop ed elettronica degli ultimi decenni, parlando del suo lavoro con i Talking Heads, Brian Eno, Caetano Veloso, Robert Wilson raccontandoci cosa ha significato lavorare con loro segnando per sempre il panorama musicale.  

KEN REGAN: ALL ACCESS - PANINI COMICS 2013

ALL ACCESS
Il mondo del rock nelle foto di Ken Regan
Panini Comics, 22/5/2013

Ken Regan si dedica appassionatamente al rock sin dagli anni 60, fotografando i più grandi nomi della scena musicale. Nel 1975 accompagna in tour sia i Rolling Stones che Bob Dylan. Tra i tanti festival ed eventi rock che ha immortalato ci sono Woodstock, l'Ultimo Valzer della Band e il concerto per il Bangladesh di George Harrison. Oltre alla sua straordinaria capacità di essere sempre al posto giusto nel momento giusto, è grazie al talento dimostrato che Regan viene scelto per essere il fotografo ufficiale del Live Aid e di altri avvenimenti epocali nel corso della storia del rock. Lavorando al fianco del celebre promoter Bill Graham durante concerti come quelli di Amnesty International ha catturato il lato umano delle rockstar, quello spesso più nascosto. "All access" raccoglie i migliori scatti di Regan, fotografie intime e rarissime realizzate in oltre quarant'anni di carriera. Tra i musicisti in questo volume: Joan Baez, Roy Orbison, The Beatles, Robert Plant, Chuck Berry, Elvis Presley, Johnny Cash, Prince, The Doors, The Rolling Stones, Bob Dylan, Carly Simon, Eagles, Sting, Billy Joel, James Taylor, Janis Joplin, U2, Jerry Lee Lewis, Neil Young, Madonna... e molti altri! Con oltre trecento immagini senza tempo, "All access" getta uno sguardo ravvicinato e intimo sugli eventi, i protagonisti e i momenti indimenticabili che hanno segnato la storia della musica. Prefazione di Keith Richards, introduzione di Mick Jagger, postfazione di James Taylor. 

ISOLE DELLA PUBBLICITÀ - LOGGIA DI BANCHI, GENOVA



ISOLE DELLA PUBBLICITÀ
Identità di una raccolta
mostra per i vent'anni dell'Archivio Storico della Pubblicità
Loggia della Mercanzia
Piazza Banchi - Genova
dal 30/8/2013 al 17/10/2013

Dagli esordi della Pubblicità nella età della pietra litografica alle scatole di latta, dalla propaganda degli anni Trenta alle insegne dipinte della città moderna, per arrivare alle più avanzate proposte grafiche: l´Archivio Storico della Pubblicità festeggia il suo ventesimo compleanno con una mostra accattivante e inedita, che presenta una significativa parte del suo eccezionale patrimonio, unico nel panorama nazionale.
Partendo dai raffinati disegni di inizio novecento, un magico viaggio illustrato nella memoria passata e recente ci conduce fino alle fotografie che Oliviero Toscani ha prodotto per Benetton.

L´Archivio Storico della Pubblicità nasce nel 1993 ad opera della società Corigraf di Genova; nel 1994 la raccolta di materiali originali e la biblioteca specialistica sono state riconosciute d´interesse locale dalla Regione Liguria.
La raccolta nasce a seguito dell´acquisizione del fondo storico della SAIGA/ Barabino & Graeve, stamperia litografica fondata a Genova nel 1909, che nel panorama nazionale ha rappresentato per oltre mezzo secolo uno dei principali centri di sviluppo della litografia in Italia. Nel 1998 è stato acquisito una parte dell´archivio della Fratelli Pagano, industria grafica fondata a Genova nel 1797.
Successive acquisizioni, donazioni e depositi di importanti fondi originali, prevalentemente cartacei, costituiscono oggi un singolare patrimonio di documentazione sulla storia della pubblicità e il visual design in Italia, sulle tecniche di stampa e sui protagonisti del cartellonismo italiano e internazionale. Le diverse declinazioni del progetto grafico sono inoltre documentate da piccoli ed esemplificativi nuclei di materiali originali: insegne dipinte a mano per negozi e uffici commerciali d´inizi ´900, contenitori in latta per la distribuzione di prodotti a largo consumo, oggetti d´uso quotidiano disegnati per la produzione industriale. 

giovedì 29 agosto 2013

JEAN-JACQUES LEBEL: SOULEVEMENTS II 1951-2013 - MAMCO, GENEVE



JEAN-JACQUES LEBEL
SOULEVEMENTS II 1951-2013
MAMCO
10, rue des Vieux Grenadiers - Geneve 4/6/2013 - 15/9/2013

Soulèvements II (1951-2013) n’est pas une rétrospective consacrée à l’œuvre de Jean-Jacques Lebel. Il s’agit plutôt d’une traversée non exhaustive de plus de cinquante ans de création qui rend compte des différentes directions prises (collages, happenings, dessins, tableaux, installations, assemblages...) par une véritable entreprise d’exploration des limites de l’art et des institutions qui le montrent. Son titre fait écho à la rétrospective de l’artiste proposée par La Maison rouge à Paris à l’automne 2009, Soulèvements.
Occupant la totalité du deuxième étage du Mamco, l’exposition montre les premiers tableaux de Jean-Jacques Lebel réalisés en 1951. Ce parcours est marqué par le désir très vite affirmé de sortir des formes cardinales  de l’art pour ouvrir l’univers plastique à de nouvelles explorations radicales.
C’est ainsi que J.-J. Lebel a réalisé à Venise  en 1960 le tout premier happening européen L’Enterrement de la Chose, cette « Chose » étant une sculpture de Tinguely portée jusqu’à sa dernière demeure à travers une procession dans la ville et sur ses canaux après l’assassinat de l’œuvre (l’exécution de l’art comme art).
Jusqu’en 1968, il multipliera les happenings à travers le monde (plus de soixante-dix seront accomplis) faisant de ces interventions la forme privilégiée de son travail.
Après cette date, il décide de ne plus l’utiliser considérant qu’elle est trop répandue dans le milieu de l’art pour être encore pertinente.
Soulèvements II montre sur un mur, aux formats A3 et A4, près d’une centaine de photos de ces happenings, moments éphémères et collectifs, à jamais perdus comme tels, qui sont ici visibles à travers des archives signées et titrées par l’artiste.
Ces images mettent en évidence la place prédominante prise par le corps et l’expression dionysiaque de ses pulsions dans une pratique artistique inassimilable par le marché de l’art.
Aux yeux de J.-J. Lebel, Les Avatars  de Vénus (2003) — autre moment de ce parcours — est une des pièces clefs de cette exposition.
Il s’agit d’une projection d’images de la féminité sur quatre écrans, visibles des deux côtés, installés à l’intérieur d’un cube. « Les regardeurs peuvent y déambuler à leur guise tandis que défile un “collage” aléatoire en évolution continue.
On assiste à la morphogenèse de la vénusté. Chaque carambolage d’images produit de nouveaux “morphes”. […] ce n’est pas du cinéma mais plutôt de la peinture en mou- vement, “en train de se faire” », confie-t-il. Là aussi se vérifie la volonté de transgresser les catégories artistiques en faisant du déambulateur l’autre nom du regardeur, à travers une installation qui est également une traversée de l’histoire de la représentation du désir et du corps féminin.
Parmi les œuvres les plus frappantes de cette vaste présentation, le Grand tableau antifasciste collectif (automne 1960) réalisé par Erró, Enrico Baj, Roberto Crippa, Gianni Dova, Antonio Recalcati et J.-J. Lebel, montré, à l’époque de sa création, dans toute l’Europe, illustre l’engagement politique de l’artiste et la dimension collective de son univers, visible également dans le Tableau collectif (2006). Autre moment marquant de ce parcours,  le labyrinthe d’images créé à l’occasion de Soulèvements II : trente-huit images de torture prises sur Internet sont imprimées en couleur sur des lés de tissu qui composent les côtés du labyrinthe, tandis que sur les murs sont visibles en noir et blanc les résultats des désastres causés par les guerres, mais sans que soient présentes les victimes. Pour J.-J. Lebel, l’art existe pour dire le refoulé et pour montrer l’insoutenable, quitte, pour ce faire, à choquer le confort moral et intellectuel de chacun.
Il faut souligner à quel point l’idée et la procédure deleu- ziennes et guattariennes du rhizome sont au cœur du travail de J.-J. Lebel : elles impliquent que l’activité artistique produise des connections proliférantes, des voisinages, des rapports non hiérarchisés entre les êtres et les choses — des amitiés — qui étendent l’espace de vie de chacun et ouvrent à de nouveaux versants du processus de subjectivation, lequel est sans cesse à explorer.
Et, de fait, l’œuvre et la vie de J.-J. Lebel sont aussi marquées par des compagnonnages (André Breton, Marcel Duchamp, Gilles Deleuze, Félix Guattari, Allan Kaprow, Allen Ginsberg...) qui font intégralement partie de son univers artistique et d’une façon de considérer l’artiste comme un passeur de formes, d’idées, d’intensités, comme un activateur de rencontres. C’est donc aussi en une somme de voisinages et de connexions que consistent ces Soulèvements II et leurs identités rebelles.

Image: Jean-Jacques Lebel, Reliquaire pour un culte de Vénus, 1977 

ANDY WARHOL: I NEVER READ, I JUST LOOK AT PICTURES - PINACOTECA COMUNALE, CITTA' DI CASTELLO



ANDY WARHOL
I NEVER READ, I JUST LOOK AT PICTURES
a cura di Romano Boriosi ed Emidio Amblentis
Pinacoteca comunale - Palazzo Vitelli
via della Cannoniera, 22/a - Città di Castello
dal 30/8/2013 al 27/10/2013

Editebro, storica associazione culturale tifernate, torna alla ribalta con una mostra-evento dedicata al grande maestro della Pop Art, Andy Warhol.
La mostra, dal titolo "I never read. I just look at pictures", è organizzata in collaborazione con il Comune e con l’Associazione Palazzo Vitelli di Città di Castello ed è patrocinata dalla Regione Umbria, dalla Provincia di Perugia e dallo stesso Comune di Città di Castello.
Per l’evento sono state messe a disposizione 70 opere provenienti dalla collezione Rosini Gutman, tra cui pezzi unici, grafiche, multipli, oggetti e foto del percorso artistico e iconografico del grande artista.
Inoltre, nell’occasione, si renderà omaggio ad Alberto Burri, grande maestro dell’arte contemporanea, attraverso un collegamento critico Burri/Warhol e un confronto con Beuys, artista quest’ultimo amico ed estimatore di Warhol.

La mostra proporrà uno sguardo su opere che rappresentano, sia intellettualmente che artisticamente, la parte esteticamente più vicina alle radici europee di Andy Warhol.
Di varie dimensioni, ritraggono i soggetti più rappresentativi degli anni Sessanta e Settanta, tra cui i Mao, le Marylin, i Mick Jagger, le Liza Minnelli oltre all’autoritratto e a molti altri soggetti famosi o inediti come gli Space Fruits.
La collezione comprende anche le Campbell's Soup e i Carton Box Campbell's, le sedie elettriche, i Flowers, i Ladies and Gentlemen e le cover discografiche più famose mai realizzate, oltre ai modelli di abiti in cotone e cellulosa "Campbell's", alle stampe in offset su carta e ad altre opere denominate "Memorabilia".
Le opere della collezione sarnno affiancate da un’installazione di lavori del ciclo "Andy Warhol - Viaggio in Italia", realizzato nel 1975 dal fotografo Dino Pedriali che, seguendo e co
adiuvando Andy Warhol in quel periodo, documenta uno dei primi viaggi del grande artista americano in Italia. 

AUT AUT 359/2013: LA POTENZA DEL FALSO

AUT AUT 359/2013
LA POTENZA DEL FALSO
a cura di Damiano Cantone
Il Saggiatore, 1/8/2013

Premessa [D.C.]
Pierangelo Di Vittorio: Come pesci nell’acqua. Prospettive genealogiche sulla mediatizzazione del quotidiano
Raoul Kirchmayr: Spettralità del falso. Hegel, Freud e al di là
Antonello Sciacchitano: O contraddittorio o non dimostrato o… Per l’epistemologia del falso
Renato Moglia La verifica incerta
Damiano Cantone Una richiesta di innocenza per il falso. A partire dalla “mimesis” di Platone
Massimiliano Roveretto: Lo specchio e il velo. Paradigmi del falso
Alessandro Dal Lago, Serena Giordano: Giochi di verità. O il contributo dei cosiddetti falsari all’arte
Boris Groys: Iconoclastia come strumento artistico. Strategie iconoclaste nel cinema
Roy Menarini: Strategie del falso nell’epoca del post-cinema
Paolo Fabbri: “Yes, we (Zombies) can”: attualità mordace del Non Morto
Telmo Pievani: Ingannare e ingannarsi: le ragioni del falso in natura
Marcello Ghilardi: Il vero, il falso, il Dao

JULIA KRISTEVA: L'AVVENIRE DI UNA RIVOLTA - IL MELANGOLO 2013

JULIA KRISTEVA
L'AVVENIRE DI UNA RIVOLTA
Il Melangolo, 29/8/2013
collana "Opuscula"

Gli uomini in rivolta della nuova specie sono gli individui arrabbiati che non hanno perso il senso decisivo e specifico della rivolta. Tutti e tutte sono impegnati in un'esistenza difficile, spesso dolorosa, e portano avanti lotte rischiose. Condividono tuttavia qualche cosa di nuovo, che probabilmente c'è sempre stato, che diventa ormai confessabile, addirittura rivendicato. Scoprono per esperienza che non ci sono risposte alle impasse sociali, storiche, politiche, senza un'esperienza interiore radicale, esigente, singolare, capace di appropriarsi della complessità del prima per decidere dell'adesso e del poi. 

FESTIVAL DELLE PERIFERIE 2013 - VILLA ROSSI, GENOVA SESTRI PONENTE 30-31/8/2013



FESTIVAL DELLE PERIFERIE
Villa Rossi
piazza Poch - Genova Sestri Ponente
30-31 agosto 2013

Venerdi 30 e sabato 31 agosto ritorna il rock a Villa Rossi a Sestri Ponente, dopo più di 5 anni nei quali sono stati svolti interventi di ristrutturazione sia del parco che della villa stessa. Giovani band, attive nei circuiti scolastici del territorio genovese, e band provenienti dal Nord Ovest del territorio italiano e da anni partner del Festival delle periferie, si esibiranno all'interno del parco con le loro performance.
Le serate saranno come ormai tradizione contornate da stand di cibo, bevande, bancarelle d’artigianato e oggettistica, e sono organizzate dall’associazione culturale Metrodora.

Il Programma delle serate:

Venerdi 30 Agosto Festival delle Periferie School Edition
La serata è dedicata alle giovani band del territorio. I componenti delle band devono avere necessariamente età scolastica, e le scuole di appartenenza indicate sono riferite ad almeno due componenti della band stesse.
Dalle 21 si esibiranno sul palco: E-404 (conservatorio Paganini), The Unknown (IIS Calvino), Feedback (Lic. Pertini), Franca Vintage (Lic. Fermi), Misentotale (Lic. Barabino)

Sabato 31 Agosto Carovana dei Festival

La Carovana dei Festival è un consorzio di festival di rock indipendente sparsi su tutto il Nord Ovest italiano che collaborano da anni. La Carovana sarà premiata in occasione del prossimo M.E.I. 2.0 che si svolgerà a fine settembre a Faenza. Fanno parte della Carovana dei Festival: Festival delle Periferie (Ge), Lilith Festival (Ge), Orzorock Festival (Pc), IndieIsPonente (Im), Wanted1Maggio (To), Varigotti Festival (Sv)
Dalle 21 si esibiranno sul palco: Bianco Plumbeo (noise strumentale da Genova), Animarma (alternative rock da Modena), Zebra Fink (grunge, alternative, hard rock da Piacenza), Without (hard rock, stoner da Savona), Sica (dance entertainment da Torino)

Ingresso gratuito. 

mercoledì 28 agosto 2013

CON ORO ET ALTRI COLORI BUONI: PERUGINO A CORCIANO



CON ORO ET ALTRI COLORI BUONI
1513-2013: Perugino a Corciano
Chiesa di Santa Maria Assunta - Via Arco della Vittoria, 1
Chiesa-Museo di San Francesco - Via del Serraglio
dal 20/7/2013 al 20/10/2013

Il 20 luglio 2013 si è inaugurata a Corciano, piccolo borgo medievale alle porte di Perugia, la mostra “Con oro e colori preziosi e buoni”. Perugino a Corciano: 1513-2013. I 500 anni della Pala dell'Assunta. Organizzata dal Comune di Corciano, dalla Soprintendenza BSAE dell'Umbria dalla Parrocchia di Santa Maria dell’Assunta e dalla Pro Loco Corcianese in collaborazione con l’Accademia di Belle Arti “Pietro Vannucci” di Perugia, la Fondazione per l’Istruzione Agraria di Perugia, la Diocesi di Perugia-Città della Pieve, il Museo Capitolare di Perugia, il Nobile Collegio del Cambio, l’esposizione, la Soprintendenza per i beni archivistici dell'Umbria, L'Archivio di Stato di Perugia, a cura di Tiziana Biganti e Alessandra Tiroli, celebra i 500 anni della Pala d’altare dell’Assunta del grande Maestro Pietro Vannucci detto il “Perugino”, sita nella chiesa di Santa Maria dell’Assunta in Corciano. Il 18 dicembre 1512, il parroco e il sindaco del castello di Corciano, dopo aver raccolto parte dei fondi necessari ottenuti grazie a lasciti testamentari, si recarono alla volta di Perugia per stipulare un contratto con quello che veniva ritenuto il maestro più importante del momento, per la realizzazione di una Pala da porsi sull'altare maggiore della chiesa parrocchiale intitolata alla Vergine Assunta in cielo.
“Con oro et altri colori buoni” è il titolo dell'evento espositivo che parte da una citazione vergata dal notaio Felice di Antonio nel contratto di allocazione della commissione a Pietro Perugino, che lui sottoscrive per un compenso di 100 fiorini e che si impegna ad eseguire nell'arco di otto mesi. Al fine di rendere quanto più possibile completa la visione ai visitatori è stato progettato un doppio itinerario: il primo nella chiesa parrocchiale di Santa Maria dell’Assunta e il secondo nella chiesa-Museo di San Francesco. Nella Chiesa, luogo dove da 500 anni è custodita la Pala che ha in qualche modo contribuito a scrivere la storia dell'edificio stesso, è prevista un'installazione virtuale che ripropone l'effigie antica del dipinto prima che gli interventi storici successivi ne modificassero la struttura portante, adattandola alle mode e ai nuovi dettami liturgici post-conciliari. L'ipotesi ricostruttiva della configurazione della parete lignea cinquecentesca viene riprodotta grazie a tecniche avanzate di proiezione digitale su specifici semitrasparenti appesi alla catena in corrispondenza del presbiterio della chiesa, per mezzo di videoproiettori posti nei pressi della cantoria all'ingresso. I pannelli saranno posizionati ad un'altezza tale da permettere il consueto utilizzo dello spazio liturgico.
L'ipotesi ricostruttiva della parete e il coordinamento scientifico sono a cura del professor Paolo Belardi del dipartimento di Ingegneria Civile e Ambientale dell'Università degli Studi di Perugia (responsabili scientifici dell'iniziativa prof. Paolo Belardi e dott.ssa Tiziana Biganti della Soprintendenza Beni Storici Artistici ed Etnoantropologici dell’Umbria), mentre il progetto dell'allestimento e la videoproiezione dell'Associazione Culturale Viaindustriae di Foligno dell'arch. Emanuele De Donno. Per offrire una proposta quanto più esaustiva, considerando che il luogo di culto non permette ulteriori allestimenti, la mostra prosegue negli spazi della chiesa-Museo di San Francesco dove viene illustrata l'idea peruginesca delle macchine d'altare, proponendo ricostruzioni e interpretazioni alla luce dell'acquisizione di nuovi dati ed elementi. Un secondo aspetto qui affrontato riguarda il restauro. Partendo dall'ultimo, che ha interessato il dipinto corcianese nel 2003/04, si ripercorre la storia degli interventi fino a giungere a quello storico condotto nel 1838 da Giuseppe Carattoli, restauratore e insigne copista del Perugino. Un fondamentale apparato documentario fa da corollario alla parte artistica. La mostra è arricchita dalla pubblicazione di un catalogo che raccoglie i contributi degli studiosi e dei tecnici che hanno curato i vari aspetti della ricerca scientifica. Questo è l’avvenimento di punta per celebrare i 500 anni insieme ad altre iniziative artistiche e culturali e con la realizzazione di un annullo postale. Come già avvenne nel 2004 in occasione delle celebrazioni in onore del "divin Pittore", che culminarono con una serie di importantissime mostre, una delle quali "Perugino pittore devozionale. Modelli e riflessi nel territorio di Corciano", tenutasi proprio a Corciano, anche in questa fondamentale tappa storica ed artistica, i primi 500 anni della Pala dell'Assunta, l'Amministrazione Comunale di Corciano, accanto alla Parrocchia di Santa Maria Assunta e alla Pro Loco Corcianese, si pone in prima fila per ricordare questo importante anniversario. 

IVAN KOŽARIĆ: FREEDOM IS A RARE BIRD - HAUS DER KUNST, MUNICH



IVAN KOŽARIĆ
FREEDOM IS A RARE BIRD
Haus der Kunst
Prinzregentenstraße 1 - Munich
20/6/2013 - 22/9/2013

"I'm not an artist but I am, nevertheless, a bad sculptor. Through my search, I came to the point where I can say that I am on the trail to discover art, and I am content with that." 

(Ivan Kožarić)

Ivan Kožarić (born in 1921 in Petrinja, lives and works in Zagreb) completed his studies at the Academy of Fine Arts in Zagreb in the late 1940s. He has since become one of the most influential postwar avant-garde artists in what was once Yugoslavia. "Freedom is a Rare Bird" represents six decades of his complex artistic oeuvre and is the most comprehensive survey exhibition to date to be devoted to the sculptor outside of his native Croatia.
"Haus der Kunst is privileged to present a landmark exhibition that represents the museum's interest to present robust examinations of some of the most significant, but little known artistic figures whose works have contributed to a broad reappraisal of important features in the history of contemporary art." (Okwui Enwezor)
Kožarić has always kept the character of his works open. He reworks earlier pieces, reprocesses earlier ideas, and intentionally dates works inaccurately or incorrectly. To do justice to this openness, the exhibition is organized according to thematic connections within his work, rather than to chronology, style, or development.
The central theme of the sculptures from the 1950s is the human figure, of which there are numerous depictions including torsos, heads, and portraits. At the same time, Kožarić also experimented with abstract shapes and ideas, which were to become more important in later years in pieces like "Osjećaj cjeline" (Feeling of Wholeness, 1953/54). In his work, Kožarić intuitively challenged the distinctions between the figurative and the abstract rejceting the necessity of any exclusive determination.
At the end of 1959, Kožarić spent six months in Paris, where he created the sculpture "Unutarnje oči" (Inner Eyes, 1959), an oval face out of which two rods reach toward the viewer like eyes. This sculpture introduced the artist's increasing preoccupation with 1negative volume and an inward directed view. Following his return in 1960, Kožarić joined Gorgona, an avant-garde group that experimented with the absurd, the immaterial, and metaphysical irony. In accordance to their belief that artistic activity must not be manifested in an artwork, the Gorgona members' products and approaches were often ephemeral: Meetings, conferences, walks, letters and thoughts of the month, as well as self-organized and funded exhibitions. This aligns them closely with Conceptual Art.
The group published an "anti-magazine", whose concept was the pure artist's book. The publication had a pioneering role internationally. Dieter Roth, Harold Pinter, and Victor Vasarely each designed an issue; contributions by Robert Rauschenberg and Yves Klein were planned but never realized.
Created during Kožarić's Gorgona phase, the "Oblici prostora" (Shapes of Space) were designed as replicas of urban cavities and voids – negative volumes that were transformed into positive forms. In 1963, Kožarić wrote, "Plaster casts should be made of ... the interiors of several important cars, the interior of bed- sitters, trees, the interior of a park, etc., the interiors of all-important cavities in our city". Conversely, the result – largely abstract, rounded shapes – is the sculptural realization of the idea of emptiness.
The members of Gorgona placed more value on the idea of an artwork's execution than on the work as a traditional form. With his 1960 sketch "Neobični projekt – Rezanje Sljemena" (Unusual Project – Cutting Sljeme), Kožarić proposed to cut off the summit of a mountain near Zagreb. The project, which today would be considered an early example of Land Art, existed as an overpainted photograph and as a model-scale sculpture. During the 1970s, Kožarić continued the study of the urban space; the proposals for monumental interventions also only exist as sketches, mostly as ove-painted photographs. With "Nazovi je kako hoćes" (Call Her What You Want, 1971), he subverts notions of monumentality and representation. Instead of embellishing a traffic island, the plastic obstructed the road like an abstract giant. The artist's projects for the urban environment represent the heart of the exhibition.
Kožarić's text sketches are usually short, handwritten remarks, and are expressions of the artist's momentary spiritual and creative state of mind ("God, You Are Big! 01/30/2000"). They often display productive self-contradiction, as well as a questioning of his own position ("I see that, were I to work more, I could create something good, something substantial. That scares me! I. K. 87").
In 1971, Kožarić decided to paint his entire studio gold, including the door, the floor, his shoes, a matchbox, a cabinet, and sculptures from his different creative periods. This action negated the artworks' immutability and was an affirmative gesture towards all of the other objects: things previously considered worthless could be transformed into art at any moment, and, conversely, art's value could always be questioned.
With his skepticism of the rules and hierarchies in viewing art, Kožarić literally overturned everything considered a given in art history. For the 1976 Venice Biennale, he arranged a collection of his major sculptures so they appeared carelessly stacked ("Hrpa", or Heaps). Kožarić later explained that he developed "Hrpa" out of the confidence that he would be able to discard everything he had created up to that point, and make even better sculptures in the future. The idea for "Hrpa" first emerges in the early 1970s by the work "Pinkleci" (Bundles), which were filled with works and objects from the artist’s studio – a metaphor for embarking on new beginnings and leaving things behind. The exhibition represents the clustering motif with assemblages from the late 1970s, for which Kožarić primarily used everyday objects.
For an exhibition in late 1993/early 1994 at a gallery in Zagreb, Kožarić moved the contents of his entire studio into the gallery, where he worked for the exhibition period. This studio was presented at documenta 11 in 2002. Since 2007, when the City of Zagreb acquired the studio and entrusted it to the Museum of Contemporary Art in Zagreb, Kožarić has initiated several transformations of the space, which contains approximately 6,000 works. About 360 works from the Kožarić studio will be presented in the exhibition, supplemented by loans from major public and private collections.
Because Kožarić repeatedly questions his achievements and remains unbiased towards his own work, the term 'freedom' frequently appears in descriptions of his works. The exhibition title itself refers to a statement the artist made in 2012. It was not a contradiction when, in 1976, at the "Office for the Deprivation of Freedom, Address and City Unknown" he made the request that "this monster somehow be gently removed" from him. The exhibition's opening coincides with Croatia's planned accession to the EU.

"Ivan Kozaric. Freedom Is a Rare Bird" was organized by Haus der Kunst in cooperation with the Museum of Contemporary Art Zagreb. The catalogue is published in English and German by Verlag der Buchhandlung Walther König, edited by Patrizia Dander and Radmila Iva Janković; with a foreword by Okwui Enwezor, a preface by Snježana Pintarić, new essays by Patrizia Dander, Radmila Iva Janković and Marco Scotini, rereleased texts by Bart De Baere, Ješa Denegri, Antun Maračić, Davor Matićević, Radoslav Putar, and two interviews conducted by Zdenko Rus and Ivica Župan in 1971 and 1992.

Catalogue in English and German, published by Walther König, edited by Patrizia Dander and Radmila Iva Janković; foreword by Okwui Enwezor, preface by Snježana Pintarić; new contributions by Patrizia Dander, Radmila Iva Janković and Marco Scotini; re-published texts by Bart De Baere, Ješa Denegri, Antun Maračić, Davor Matićević, Radoslav Putar, and two interviews with the artist conducted by Zdenko Rus, 1971 and Ivica Župan, 1992

Image: Linije, 1972, Line, gouache on paper, 84 x 60 cm. Museum of Contemporary Art Zagreb - MSU Zagreb. Courtesy Ivan Kožarić. Photo: Filip Zima / Foto: Filip Zima 

FEDERICA NATTA: L'INFERNO IN SCENA - FALSOPIANO 2013



FEDERICA NATTA
L'INFERNO IN SCENA
Falsopiano 03/2013

“Il pensiero dell’Inferno evita l’Inferno” così la retorica degli exempla suggeriva al fedele la via della possibile salvezza.
Nel XIV-XV secolo la messa in scena di orribili pene appare come un tributo pagato alla colpevolezza dell’individuo; c´è la rappresentazione di un processo di espiazione, di una strategia quasi penitenziale.
Le dinamiche di questa intenzionalità sono pervasive e contemplano i diversi contesti: l’immagine dipinta, il teatro, la predicazione, le sacre rappresentazioni, i racconti, la letteratura delle visioni, la liturgia. In questo percorso, l’Inferno non è il soggetto di una tragedia, ma di una commedia.
Questo libro ripercorre le idee rappresentative degli inferi e ci conduce nel mondo suggestivo e ambiguo popolato di mostri terribili, di terribili torture, di streghe ante litteram e della paura medievale e poi moderna della colpa e del peccato.
Questo libro inaugura una nuova collana dedicata alle arti in senso più generale, ovvero a quelle tematiche trasversali che investono la pittura, il video, il teatro, l’arte virtuale e la televisione. 

ALESSANDRO MARINI: BERTOLUCCI. IL CASO PRIMA DELLA RIVOLUZIONE - FALSOPIANO 2012



ALESSANDRO MARINI
BERTOLUCCI
Il cinema, la letteratura. Il caso Prima della rivoluzione
Falsopiano, 12/2012

Un giovane borghese insoddisfatto cerca un’alternativa a un’esistenza già scritta in due coraggiose iniziative: una storia d’amore con la propria zia e la militanza nel PCI.
Il film è Prima della rivoluzione (1964), il capolavoro giovanile di Bernardo Bertolucci.
Siamo all’inizio degli anni ’60, a Parma, città natale del regista, che avvolge la vicenda con la sfumata bellezza del suo passato e la luce discreta del suo orizzonte di provincia colta e benestante.
In questa monografia si ricostruisce l’avventura espressiva di un film unico, denso di un autobiografismo esibito e sofferto, e attraversato da uno sperimentalismo già maturo, che accosta tradizione e discontinuità in una sintesi originale ed emozionante. L’autore ripercorre Prima della rivoluzione sulle tracce dei molteplici modelli che animano l’ispirazione di Bertolucci, da Stendhal a Pasolini, da Melville a Verdi, per mettere il rilievo la complessità consapevole del progetto artistico alla base del film, sospeso nel compromesso felice tra la provocazione innovatrice della Nouvelle Vague, la nostalgia della dolcezza passata e l’ammirazione per l’arte dei maestri.
Su tutto, il cinema, terreno di una scrittura irregolare e provocatoria, e, nello stesso tempo, macchina dei sogni, capace di fermare il tempo e di sottrarre il destino umano al dramma del cambiamento impossibile. 

FORUNDIO FESTIVAL 2013 - NEIRONE 29-31/8/2013


UMBERTO MASTROIANNI A OSTIA ANTICA



UMBERTO MASTROIANNI A OSTIA ANTICA
a cura di Micol Forti, Paola Germoni, Gerardo Lo Russo, Paola Molinengo Costa, Angelo Pellegrino
Museo dell’Area Archeologica di Ostia
Via dei Romagnoli 717 - Roma
dall'11/5/2013 al 10/11/2013

Nelle sale del Museo dell’Area Archeologica di Ostia sabato 11 maggio 2013 alle ore 17.30 si inaugura la mostra Umberto Mastroianni a Ostia Antica. Dalla Figurazione all’Astrattismo e gli Emblemata della collezione ostiense.
La mostra promossa dalla Soprintendenza Speciale per i Beni Archeologici di Roma, in collaborazione con Il Cigno GG Edizioni, prevede anche l’esposizione di alcune delle più importanti opere che fecero parte dell’atelier personale di Umberto Mastroianni dalle quali in vita non volle mai separarsi. Una selezione di oltre 40 opere tra sculture e cartoni a testimonianza del genio eclettico di Mastroianni che, dalla figurazione all’astrattismo, ha segnato il Novecento italiano.
Si propongono per la prima volta al pubblico gli emblemata, ovvero rappresentazioni figurate con minute tessere in pietra colorata e pasta vitrea su supporto mobile, che originariamente dovevano costituire il fulcro centrale di pavimentazioni a mosaico. Un’attenta revisione conservativa realizzata nel 2003 ha consentito di restituire ad ogni singolo esemplare la propria unicità costruttiva senza cancellare la frammentarietà del momento della scoperta.
La collezione dei piccoli “quadri” policromi, provenienti dall’insediamento sepolcrale della necropoli di Porto all’Isola Sacra, documenta nella scelta dei temi proposti che riconducono al mondo mitologico, alla rappresentazione di nature morte o di repertori animali, la diffusione di un linguaggio decorativo non differenziato tra città dei vivi e mondo funerario, dalla fine del I agli inizi del III secolo d.C.
Il percorso espositivo propone un confronto forte e dirompente: da una parte le volumetrie squadernate e bidimensionali del Maestro arpinate; dall’altra le classiche, dimensioni dell’arte antica. Un percorso che segna l’evoluzione della linea, del tratto, delle forme e delle proporzioni: dalla ripresa della Natura alla negazione della stessa.
L’allestimento della mostra accoglie le sculture del Maestro nell’area archeologica armonizzando in modo graduale e progressivo la modernità delle opere di Mastroianni e la lunga vita della città antica.

Mostra promossa da Soprintendenza Speciale per i Beni Archeologici di Roma in collaborazione con Il Cigno GG Edizioni e il Centro Studi dell’Opera di Umberto Mastroianni

Il catalogo è pubblicato da Il Cigno GG Edizioni 

VICTOR GRIPPO: TRANSFORMACIÓN - CENTRO GALEGO DE ARTE CONTEMPORANEA, SANTIAGO DE COMPOSTELA



VICTOR GRIPPO
TRANSFORMACIÓN
Centro Galego de Arte Contemporanea
rua Valle Inclan s/n - Santiago de Compostela
18/7/2013 - 20/10/2013

Para Víctor Grippo (Junín, 1936 - Bos Aires, 2002) o traballo do artista consiste en descifrar os significados ocultos que se atopan baixo os obxectos primarios. Desde que comezou a súa carreira como pintor no cargado clima político arxentino dos anos sesenta, este químico de formación mantivo un interese constante polas relacións entre arte, ciencia e vida cotiá. A súa fascinación pola transformación e a rexeneración inherentes á natureza, polo seu poder alquímico, albíscase xa nas súas primeiras esculturas e instalacións da década de setenta e impregna o conxunto da súa obra converténdose nun dos principios vertebradores da súa práctica artística: transformación da ciencia en arte, da materia en enerxía, da enerxía en conciencia, da morte en vida... 

SEAN HOWE: MARVEL COMICS - PANINI COMICS 2013



SEAN HOWE
MARVEL COMICS
Una storia di eroi e supereroi
prefazione di Marco M. Lupoi.
Panini comics, 17/7/2013
collana "Panini books"

Dal suo ufficio sulla Madison Avenue, nei primi anni Sessanta una piccola casa editrice di nome Marvel Comics presentò al mondo una serie di personaggi dai costumi sgargianti, dalla parlantina fluente e pieni di umanissimi problemi. Spider-Man, i Fantastici Quattro, Capitan America, l'Incredibile Hulk, gli Avengers, Iron Man, Thor, gli X-Men, Devil... Supereroi che in breve tempo conquistarono il cuore dei ragazzi e accesero l'immaginazione di artisti pop, intellettuali e attivisti studenteschi. Nel giro di mezzo secolo l'epico universo della Marvel sarebbe diventato il più grande e complesso affresco narrativo della storia. Una moderna mitologia americana, per un pubblico di milioni di lettori. Nel corso del viaggio che l'avrebbe fatta diventare un'impresa con un giro d'affari miliardario, l'identità della Marvel - di volta in volta grintoso outsider o colosso industriale - è costantemente mutata. E mentre l'azienda si trovava ad affrontare speculazioni di Wall Street, fallimenti hollywoodiani e profonde crisi dell'industria del fumetto, i suoi personaggi sono passati di mano in mano attraverso generazioni di supervisori, disegnatori e scrittori: il celeberrimo "Bullpen" della Marvel. Incaricati di portare avanti la tradizione, col tempo i collaboratori della Marvel - tra cui bambini prodigio cresciuti nella miseria, pacifisti sotto allucinogeni e carrieristi mercenari - si sono ritrovati a dover combattere contro imposizioni commerciali... 

METAL HURLANT: ANTHOLOGY, VOL. 1 - PANINI COMICS 2013



METAL HURLANT
ANTHOLOGY, VOL. 1
Panini Comics, 24/7/2013

Nella Francia degli anni Settanta, tre giganti di nome Moebius, Druillet e Dionnet fondarono la celeberrima rivista Métal Hurlant e la casa editrice Les Humanoïdes Associés, entrata nella leggenda. Questo movimento dirompente è stato di grande ispirazione tanto per i numerosissimi appassionati quanto per i disegnatori di tutto il mondo. In breve tempo la rivista iniziò a contare numerose versioni straniere, tra cui un'edizione americana intitolata Heavy Metal. Trenta anni dopo la Humanoids, controparte americana di Les Humanoïdes Associés, riaccende la passione e l'immaginario della pubblicazione originale stampando quattordici numeri di una nuova antologia di Metal Hurlant. Questo volume è il primo di due raccolte e contiene principalmente le storie di fantascienza dell'antologia e, anche se talvolta esplorano altri generi, tutti i racconti sono permeati dalla stessa cupa sensibilità. Gli autori coinvolti spaziano da superstar del fumetto americano come Geoff Johns e Ryan Sook a innovatori europei di grande talento come Fred Beltran e Mark Vigouroux. Questa varietà di autori illustra magnificamente la visione eclettica e singolare di un'opera a fumetti che dimostra di saper resistere alla prova del tempo senza perdere un briciolo della sua forza provocatoria. 

LA COMUNE HIPPY DI OVADA - GALLINO, 2012



LA COMUNE HIPPY DI OVADA
a cura di Ignazio Maria Gallino
Gallino, 2012

“Un giorno d’inverno del 1970, raccolte alcune coperte e qualche utensile agricolo, decidemmo di andare ad Ovada, un paesino posto sulle colline del Monferrato, per costruire una comune agricola. Questa nostra decisione non fu il risultato di una paranoia del momento e nemmeno un improvviso desiderio di avventura. Molti di noi avevano vissuto le esperienze comunitarie di Mondo Beat e le lotte degli ultimi anni. Alcuni avevano anche sperimentato la vita nelle comuni cittadine, ma si erano presto resi conto che non era sufficiente, per creare rapporti interpersonali diversi, dividere assieme una stanza e pochi oggetti d’uso. Più o meno tutti affrontavano la prospettiva di una vita in comune in un modo nuovo. La cultura tradizionale con la sua ipocrisia, vacuità e mancanza di sbocco, ci stava uccidendo. Eravamo fermamente convinti che la comune fosse l’unico e significativo modo di vita. Dopo avere ottenuto il permesso di accamparci in quei terreni (quasi subito revocato dal padrone), ci demmo da fare per rendere il posto abitabile, rimuovendo le travi e le tegole che stavano cadendo a pezzi, riempiendo le stanze e i fienili di oggetti, di scritte, di disegni, di vibrazioni e di felicità. I contadini del luogo ci accolsero come vecchi amici: mangiavamo spesso con loro, raccontandoci le nostre reciproche esperienze. Inoltre loro ci insegnavano i segreti della terra, felici di trovare in noi degli attenti discepoli. Dopo qualche mese le capre e le galline cominciarono a crescere di numero e con loro anche i membri della comune. E cominciammo a ricevere moltissime visite: molti venivano semplicemente per curiosare, ma altri volevano vivere la nostra stessa esperienza. Più aumentavamo di numero, più difficile diventava la nostra convivenza. Le cose da fare erano molte: curare gli animali, provvedere alla semina e ai raccolti, irrigare i campi. E poi c’erano i lavori domestici. Ma non ci scoraggiavamo e riuscivamo a trasformare il lavoro in gioco: così, ad esempio, lavare i piatti al fiume diventava un rito quasi sacro, smuovere le zolle del terreno una festa. Molto spesso di notte ci mettevamo tutti attorno a un circolo con tam-tam, armoniche, chitarre e flauti, alla ricerca di nuovi mezzi di comunicazione”. 

lunedì 26 agosto 2013

DELACROIX ÉCRIVAIN - MUSÉE DELACROIX, PARIS



DELACROIX ÉCRIVAIN
Commissaire: Dominique de Font-Reaulx assistée de Catherine Adam-Sigas et de Marie-Christine Mégevand
Musée Delacroix
6, rue Furstenberg - Paris
du 15 juin 2013 au 6 octobre 2013

Eugène Delacroix mourut, le 13 août 1863, à l’âge de soixante-cinq ans, dans son appartement de la rue de Furstenberg où est installé aujourd’hui le musée. En commémoration de la disparition de l’artiste, le musée Delacroix présentera dessins, autographes et photographies autour du thème « Delacroix écrivain », grâce à ses collections enrichies d’acquisitions récentes.
« Un peu d’insistance est nécessaire, une fois la machine lancée, j’éprouve en écrivant autant de facilité qu’en peignant, et, chose singulière, j’ai moins besoin de revenir sur ce que j’ai fait. » 21 juillet 1850.
Peintre majeur du XIXe siècle, très tôt remarqué par la critique pour la puissance et l’invention de ses oeuvres, Delacroix fut aussi un écrivain remarquable, dont les qualités d’expression littéraire étaient servies par une culture classique profonde et un sens aigu de la composition et de la narration. Tenu toute sa vie durant sur de petits carnets retrouvés à sa mort, son Journal en témoigne. Écrits intimes, il n’était pas exclu, du point de vue de leur auteur même, qu’ils deviennent publics ; « le véritable grand homme est à voir de près », nota-t-il en 1850.
Fervent observateur de la nature comme des oeuvres artistiques, Delacroix accordait à la mémoire une place cruciale : « Les arts sont nés de ce besoin des imaginations sensibles de fixer le souvenir. » L’écriture lui offrait de rendre tangible la fugacité de l’instant, de conserver la vérité des émotions.  

IMAGO MUNDI - FONDAZIONE QUERINI STAMPALIA, VENEZIA



IMAGO MUNDI
Fondazione Querini Stampalia
campo Santa Maria Formosa 5252 - Venezia
dal 27/08/2013 al 27/10/2013

Imago Mundi è la collezione formata da più di un migliaio di opere che Luciano Benetton ha commissionato e raccolto a partire dai suoi viaggi nel mondo, coinvolgendo, in modo volontario e senza fini di lucro, artisti affermati ed emergenti di tanti diversi Paesi, che hanno realizzato ciascuno un’opera con l’unico vincolo del formato 10×12 centimetri.
La collezione, sotto l’egida della Fondazione Benetton, non ha intenti commerciali ma si propone di riunire le diversità del nostro mondo in nome della comune esperienza artistica, per realizzare una “catalogazione” – delle poetiche come delle opere – diversa da quella consueta, museale o di mercato che sia.

“Imago Mundi è un progetto culturale, democratico e globale che guarda alle nuove frontiere dell’arte – verso personalità, Paesi, linguaggi emergenti e differenti culture – in nome dell’apertura al mondo e ai nuovi orizzonti, e della convivenza delle diversità espressive”, sottolinea Luciano Benetton.
“Il nostro intento è far viaggiare la collezione per mostrarla, attraverso esposizioni, cataloghi e un progetto web dedicato all’arte, al maggior numero di persone nel mondo, in collaborazione con istituti privati e musei pubblici”.

Prima tappa del viaggio di Imago Mundi sarà la mostra a Venezia, presso la Fondazione Querini Stampalia, come evento collaterale della 55. Esposizione Internazionale d’Arte – la Biennale di Venezia. Dal 28 agosto al 27 ottobre 2013 saranno presentate al pubblico per la prima volta le collezioni raccolte negli Stati Uniti, in Giappone, India, Corea del Sud e Australia (arte aborigena). Si tratta di oltre 200 opere di ciascun Paese, raggruppate sulla base della nazionalità, delle regioni e dei continenti, per presentare la collezione, oltre che per gli intrinseci significati dei lavori, come il racconto, attraverso il filtro dell’arte, dei viaggi compiuti da Luciano Benetton nel mondo.
La struttura espositiva di Imago Mundi è stata progettata dall’architetto Tobia Scarpa come spazio accogliente che agevola la comprensione della ricchezza espositiva: la struttura conferisce facile visibilità ai piccoli quadri e, grazie a espositori che si chiudono come pagine di libro, è comoda da trasportare e installare, favorendo le finalità itineranti della collezione, destinata a viaggiare senza frontiere.
Oltre ai cinque Paesi presentati per la prima volta a Venezia, Imago Mundi comprende le collezioni degli artisti di America Latina, Est Europa, Russia, Cina e Mongolia (attualmente
Imago Mundi raccoglie oltre 2.000 piccoli dipinti). Le prossime direttrici di questo progetto punteranno a Sud, per raccontare il fermento creativo, artistico e sociale del continente africano. 

THE AGE OF COLLAGE - GESTALTEN 2013



THE AGE OF COLLAGE
Contemporary Collage in Modern Art
edited by by D. Busch, R. Klanten, H. Hellige
Gestalten
(August 15, 2013)

Spontaneous, irreverent, personal. Collage fits more perfectly into our current age than almost any other artistic technique. The technique of collage fits perfectly into our current age. Raw visual material is collected by an artist and then combined in such a way as to abstract the individual elements enough that the artist's own vision becomes prominent. Because collage's references range from other artistic works and techniques to scientific images, pop culture, and erotica, these raw materials reflect humanity's collective visual memory and context. It's collage's broad scope--and irreverence--that make this technique so interesting for both artist and audience. So it comes as no surprise that a lively scene has developed around contemporary collage in the last few years. Our book cutting edges was the first to document work by this scene, which has continued to expand the possibilities of the genre. Beyond the lowbrow movement, which brings a fresh perspective to figurative surrealism, more and more established artists are now embracing this medium. Their work bridges the historical gap between the classic pioneers of the technique from the 1920s and today's vanguard of contemporary collage. Showcasing outstanding current artwork and artists, The Age of collage is a striking documentation of this new appetite for destructive construction. The book also takes an insightful behind-the-scenes look at those working with this interdisciplinary and cross-media approach. While illustration, painting, and photography continue to fundamentally influence collage, the featured work also plays with elements of abstraction, constructivism, surrealism, and dada. Collage gives artists more room to stake out diverse artistic positions than almost any other existing technique. Through confident cuts, brushstrokes, mouse clicks, or pasting, collage gives the impossible a tangible form--while turning our worldview on its head along the way. In their visual confrontation with reality in our digital age, which has already made geographic, temporal, and artistic boundaries obsolete, these artists celebrate and exaggerate simultaneousness. 

RADICAL PRESENCE - CONTEMPORARY ARTS MUSEUM HOUSTON 2013



RADICAL PRESENCE
Black Performance in Contemporary Art
by Yona Backer, Naomi Beckwith
Contemporary Arts Museum Houston
(July 31, 2013)

Radical Presence chronicles the emergence of black performance practices in contemporary art. Where hegemony has tended to define black performance art as an extension of theater, this publication provides a critical framework for discussing the history of black performance within the visual arts over the last 50 years. Over five decades of performance art practices by such artists as Benjamin Patterson, David Hammons, Senga Nengudi, Lorraine O'Grady, Adrian Piper and Ulysses Jenkins are presented along representatives of subsequent generations such as Carrie Mae Weems, William Pope.L, Terry Adkins, Sherman Fleming, Danny Tisdale, Lyle Ashton Harris, Clifford Owens, Kalup Linzy and Adam Pendleton, among others.
This publication includes a DVD compilation of performance excerpts and is an essential tool for any understanding of the field. 

DANIELE SANGUINETI: SCULTURA GENOVESE IN LEGNO POLICROMO - ALLEMANDI 2013



DANIELE SANGUINETI
SCULTURA GENOVESE IN LEGNO POLICROMO
dal secondo Cinquecento al Settecento
Allemandi, 2013

La scultura in legno policromo genovese non è mai stata oggetto di una monografia unitaria, per quanto, dal secondo Cinquecento fino a tutto il XVIII secolo, rappresentasse una delle tipologie artistiche più diffuse e richieste. L'apice di questa tradizione, che ha prodotto gruppi d'altare, crocifissi, apparati d'arredo e soprattutto "casse" processionali, vedrà sortire le grandi figure di Filippo Parodi e di Anton Maria Maragliano. Entrambi rinnovarono, in chiave barocca e berniniana, la grande statuaria a Genova, raggiungendo clamorosi risultati, in netto anticipo rispetto ad altre realtà regionali. Nel corso del Settecento la scuola maraglianesca, ottenne un monopolio produttivo che giunse fin quasi alla fine del secolo, con l'apertura dell'Accademia Ligustica (1751) che tentò di imporre nuovi dettami di compostezza formale. Il volume dovrebbe comprendere, prima del capitolo finale in cui è affrontata, bottega dopo bottega, la storia della statuaria in legno genovese, una serie di approfondimenti nei quali si dà conto della metodologia utilizzata, della fortuna critica, del ruolo sociale dell'artista, dei contratti notarili e delle fasi connesse alla progettazione e alla tecnica esecutiva, sia per ciò che riguarda la lavorazione del legno sia per la finale stesura della veste policroma ad opera di artigiani specializzati. 

domenica 25 agosto 2013

KITASONO KATUE: SURREALIST POET - LACMA, LOS ANGELES


KITASONO KATUE: SURREALIST POET
LACMA Los Angeels County Museum of Art
organized by Hollis Goodall
Pavilion for Japanese Art
5905 Wilshire Boulevard (at Fairfax Avenue) - Los Angeles
August 3, 2013 – December 1, 2013

The Los Angeles County Museum of Art (LACMA) is pleased to present the first U.S. exhibition of leading avant-garde artist of his generation in Japan, Kitasono Katue (Japan, 1902–1978).
Kitasono Katue: Surrealist Poet highlights over eighty original photographs, paintings, and drawings, as well as many rare publications drawn from the collection of Los Angelesbased poet and scholar, John Solt.
Among the works in the exhibition are all of Kitasono’s poetry collections, including his first, Album of Whiteness (1929).
The exhibition, organized by Hollis Goodall, LACMA curator for Japanese Art, portrays Kitasono as a leading participant in visual as well as literary avant-garde movements during both pre- and post-war eras.

A pioneering avant-garde spirit, Kitasono made a priority of finding common ground with poets, artists, and writers in Europe and the Americas, from whom he initially sought stimulus to develop his early modes of poetry. First entranced by the modern art movements of Dadaism and Surrealism, he also thoroughly absorbed the ideas of Futurism, Cubism, and, in the postwar era, Abstract Expressionism and Minimalism. He would introduce elements of each into his poetic mode.

Image: Kitasono Katue, La Disparition d’Honoré Subrac (オノレ・シュウブラック氏の減形) (1960), gelatin silver print. Collection of John Solt. © Hashimoto Sumiko. Used with permission. 

CLEMENS VON WEDEMAYER: THE CAST - MAXXI, ROMA


CLEMENS VON WEDEMAYER
THE CAST
a cura di Giulia Ferracci
MAXXI - Museo nazionale delle arti del XXI secolo
via Guido Reni 4/A - Roma
dal 26/8/2013 al 26/1/2014

Clemens von Wedemeyer, tra gli artisti più impegnati nel confronto fra cinema e arti visive, presenta al MAXXI The Cast, quattro nuove opere che, partendo dall’analisi del metodo narrativo del cinema, attraversano i luoghi della memoria, fino a descrivere la nostra contemporaneità.
La mostra è pensata per essere una processione di eventi storici e figure epiche che ritornano alla luce grazie alla comparsa di sculture impolverate, attori che vestono i panni della vita quotidiana, protagonisti dimenticati dalla storia del cinema italiano, personaggi mitici provenienti dal mondo pagano di Ovidio.
The Cast si articola in quattro grandi capitoli: nei primi due, Afterimage e The Beginning: Living Figures Dying, l’artista analizza gli elementi che generalmente compongono la struttura di un film, smascherandone gli schemi più classici. Procession, è il film protagonista del terzo capitolo, un viaggio nella storia del nostro Paese che partendo dal 1937, anno di fondazione degli storici Studi di Cinecittà, arriva a osservare i temi della nostra attualità, rappresentata dal Teatro Valle occupato. Conclude la mostra l’opera Remains & The Myth of Deucalion and Pyrrha ispirata al noto mito raccontato da Ovidio nelle Metaformosi.

Image: Muster 2012 Exhibition view at Documenta 12, Kassel, Germany 

LES TEMPS MODERNES 674: SARTRE AVEC FREUD


LES TEMPS MODERNES 674
SARTRE AVEC FREUD

Sartre avec Freud :
- Frédéric Worms, Le problème de l'inconscient dans le moment de l'existence
- Clotilde Leguil, Sartre avec Lacan au XXIe siècle. Du désir d'être à la jouissance honteuse
- Philippe Cabestan, "L'inconscient est structuré comme un langage". Sartre et le primat lacanien du signifiant
- Arnaud Tomès, La critique sartrienne de l'inconscient
- Juliette Simont, Le choix originel : destin et liberté
- Jean Bourgault, "On n'est pas impunément le fils de la belle Madame Le Poittevin". Une lecture sartrienne du complexe d'Odipe,
- Alexis Chabot, L'Enée de la famille. Une lecture du Scénario Freud
- Pierre Campion, Les enfances Henri Martin selon Sartre
- Yves Jean Harder, Dialectique et structure : Sartre, Lévi-Strauss, LacanEran Dorfman, Le regard est-il traumatique ? (L'exemple de Semprun)
- Aliocha Wald Lasowski, De Sartre à Félix Guattari. La filiation antipsychiatrique
- Olivier Wickers, Le séquestré de la Recherche. Proust, une psychologie de l'enfermement
- Lev Fraenckel, De l'éthique à l'esthétique. Note sur la "sublimation" chez Sartre
- Paolo Tamassia, Jean-Paul Sartre et Jean-Luc Nancy. L'art comme vestige

Pour JB Pontalis :
- François Gantheret, Un homme a disparu
- Alexis Chabot, "JB", en mémoire de Jean-Bertrand Pontalis
- JB Pontalis, Freud aujourd'hui
- Jean Bourgault, A propos de "L'homme au magnétophone"

Pour Anne-Lise Stern :
- Liliane Kandel, "Et je signe : 78765, psychanalyste". En souvenir d'Anne-Lise Stern
- Anne-Lise Stern, Le poumon

- Suzanne Delavila, Le Caire, portrait d'un salafiste
- Sophie Bessis, Les femmes, enjeu des rivalités coloniales et postcoloniales entre les deux rives de la Méditerranée
- Christine Fauré, Le planisphère des Femen
- Wassyla Tamzali, Cinémas d'Algérie, 1961-2009

Chroniques :
Elie Duprey, La nécessaire imperfection de la justice devant l'Histoire : Juge à Nuremberg, souvenirs inédits du procès des criminels nazis de Robert Falco
Micheline B Servin, Athènes, le théâtre et la démocratie.  

ANTOINE PASCAL: SCOUTISME, UN SIECLE D'AVENTURES ! - OUEST-FRANCE 2013


ANTOINE PASCAL
SCOUTISME, UN SIECLE D'AVENTURES !
OUEST-FRANCE
(22 août 2013)

L'histoire du scoutisme français a 100 ans ! Créée par Baden- Powell en 1907, cette pédagogie avant-gardiste, qui adopta la nature comme terrain de jeu, débarqua en France pour la première fois en 1911. Dès lors, elle connut un succès formidable au point de devenir l'un des principaux mouvements éducatifs français du XXe siècle. D'abondantes photos, une foule de documents et d'objets emblématiques ainsi que les illustrations de Pierre Joubert nous font revivre cette fabuleuse histoire.