RENONCER À L'ART
Figures du romantisme et des années 1970
Edité par Julie Ramos
Textes de Christophe Domino, Julie Ramos, Gilles A. Tiberghien, Antonia Rigaud, Bertrand Tillier, Giovanna Zapperi, Gilles Soubigou, Sophie Delpeux, Olivier Schefer, Alexander Koch
Roven, septebre 2013
Le renoncement comme pratique artistique : un ouvrage qui entend nourrir et renouveler les réflexions sur le sujet, amorcées ponctuellement ces dernières années à travers de rares expositions, symposiums ou écrits. Le livre réunit plusieurs approches de ce thème fondateur de la pensée créatrice d'aujourd'hui, en mettant en valeur les liens entre différentes périodes et pratiques, éclairant la création actuelle par les expériences passées et décloisonnant les domaines de la création plastique et littéraire.
Cet ouvrage, qui rassemble des essais de chercheurs de différentes universités et laboratoires de recherches, spécialistes du romantisme et des années 1970, propose une réflexion inédite sur la face obscure de la création : son abandon. Artistes voués à la disparition, recherches d'un écart solitaire ou communautaire, indistinction entre l'art et la vie, autant de postures qui témoignent d'un renoncement à l'œuvre ou à la pratique artistique. Le livre, par sa construction et son parti pris, inverse inverse les lieux communs pour saisir véritablement les enjeux du renoncement, comme pratique artistique effective.
Julie Ramos est maître de conférences à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et conseillère scientifique à l'Institut National d'Histoire de l'Art (axes « Arts visuels, musique, arts du spectacle » et « Arts décoratifs, design, objets »). Auteure d'articles et de conférences sur les écrits des peintres romantiques, la synthèse des arts, l'illustration littéraire et la dimension politique du romantisme allemand, ainsi que de l'ouvrage Nostalgie de l'unité. Paysage et musique dans la peinture de P. O. Runge et C. D. Friedrich (Presses Universitaires de Rennes, 2008), elle a contribué aux catalogues L'invention du sentiment, aux sources du romantisme (Musée de la musique, 2002), Aux origines de l'abstraction. 1800-1914 (Musée d'Orsay, 2003), Traces du sacré (Centre Pompidou, 2008) et Charles Fourier – L'écart absolu (Les presses du réel, 2010). Elle a par ailleurs codirigé avec Nathalie Blanc un livre d'entretiens d'artistes sur l'art contemporain et l'écologie (Ecoplasties – Art et environnement, Manuella, 2010).
Figures du romantisme et des années 1970
Edité par Julie Ramos
Textes de Christophe Domino, Julie Ramos, Gilles A. Tiberghien, Antonia Rigaud, Bertrand Tillier, Giovanna Zapperi, Gilles Soubigou, Sophie Delpeux, Olivier Schefer, Alexander Koch
Roven, septebre 2013
Le renoncement comme pratique artistique : un ouvrage qui entend nourrir et renouveler les réflexions sur le sujet, amorcées ponctuellement ces dernières années à travers de rares expositions, symposiums ou écrits. Le livre réunit plusieurs approches de ce thème fondateur de la pensée créatrice d'aujourd'hui, en mettant en valeur les liens entre différentes périodes et pratiques, éclairant la création actuelle par les expériences passées et décloisonnant les domaines de la création plastique et littéraire.
Cet ouvrage, qui rassemble des essais de chercheurs de différentes universités et laboratoires de recherches, spécialistes du romantisme et des années 1970, propose une réflexion inédite sur la face obscure de la création : son abandon. Artistes voués à la disparition, recherches d'un écart solitaire ou communautaire, indistinction entre l'art et la vie, autant de postures qui témoignent d'un renoncement à l'œuvre ou à la pratique artistique. Le livre, par sa construction et son parti pris, inverse inverse les lieux communs pour saisir véritablement les enjeux du renoncement, comme pratique artistique effective.
Julie Ramos est maître de conférences à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et conseillère scientifique à l'Institut National d'Histoire de l'Art (axes « Arts visuels, musique, arts du spectacle » et « Arts décoratifs, design, objets »). Auteure d'articles et de conférences sur les écrits des peintres romantiques, la synthèse des arts, l'illustration littéraire et la dimension politique du romantisme allemand, ainsi que de l'ouvrage Nostalgie de l'unité. Paysage et musique dans la peinture de P. O. Runge et C. D. Friedrich (Presses Universitaires de Rennes, 2008), elle a contribué aux catalogues L'invention du sentiment, aux sources du romantisme (Musée de la musique, 2002), Aux origines de l'abstraction. 1800-1914 (Musée d'Orsay, 2003), Traces du sacré (Centre Pompidou, 2008) et Charles Fourier – L'écart absolu (Les presses du réel, 2010). Elle a par ailleurs codirigé avec Nathalie Blanc un livre d'entretiens d'artistes sur l'art contemporain et l'écologie (Ecoplasties – Art et environnement, Manuella, 2010).